Paroisse Notre-Dame-de-Grâce

Ce site est consacré à la paroisse Notre-Dame-de-Grâce,
qui a été créée en 1924 et
réintégrée à la paroisse-mère Saint-Sauveur en 1997,
dans la ville de Québec.




EXPOSITION PERMANENTE





Messages les plus récents

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Table des matières

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Historique de NDG en résumé

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Précisions

Les prêts qui me furent faits de nombreux documents me décidèrent à partager ces souvenirs avec la collectivité. Vos commentaires, souvenirs et suggestions sont les bienvenus, de même que vos corrections des erreurs ou omissions involontaires.

Notes :

Nous respectons le désir des individus de ne pas voir leur nom ou leur photo apparaître.

Pour lire les messages, toujours descendre après le "Hommage à Simonne Tardif (Dumont)".

La présentation est optimale en fonction de Windows XP, avec Firefox (Mozilla) comme navigateur et lorsque les fenêtres sont ouvertes à pleine largeur. À défaut de ces conditions, on risque de rencontrer des irrégularités.

On peut cliquer sur les photos pour les agrandir.

Les messages sont sujets à des mises à jour, sans autre avis.

Michel Gignac

Horaire de l'Exposition

À VISITER au
CENTRE COMMUNAUTAIRE ÉDOUARD-LAVERGNE,
390 Arago Ouest :

EXPOSITION permanente pour rappeler
la paroisse Notre-Dame-de-Grâce,
son curé fondateur et son église.

Elle peut être visitée surtout
le VENDREDI entre 9h et 21h,
le SAMEDI entre 9h et 15h,
(fermée le dimanche)

Pour ces jours et pour les AUTRES JOURS,
prière de s'entendre avec un préposé
(418-691-7190 ou 418-641-6252).

ENTRÉE GRATUITE

N.B. Liens vers les messages concernant l'Exposition :
inauguration
photos
crédits

Simonne Dumont (Tardif) 1920-2018

Simonne Dumont (Tardif) 1920-2018

Hommage à Simonne Tardif (Dumont), co-fondatrice du blogue et qui a écrit ce texte :

ÉLOGE DE L'ÉGLISE

Les cloches ont sonné pour la dernière fois dimanche le 29 juin 1997. Les portes de l'église Notre-Dame de Grâce dans Saint-Sauveur se sont fermées à jamais après une dernière messe solennelle dans l'église que remplissaient des résidents et d'anciens paroissiens heureux d'y revenir mais tristes de la voir fermer. La générosité de ces derniers avait permis de la conserver plusieurs années, permettant à la paroisse de célébrer son 70e anniversaire en 1994. Mais la baisse d'assistance aux offices avait fait diminuer les revenus, causant finalement la fermeture.

Depuis, des organismes ont essayé en vain de faire revivre ce temple merveilleux. Mais pendant ces années, la bâtisse s'est détériorée, ce qui fait que le Journal "Le Soleil" annonçait le 15 octobre 2008 : "L'église sera démolie d'ici Noël" pour faire place à des logements. Que de serrements de coeur pour ceux et celles qui y sont attachés !

Nous perdons donc définitivement notre belle église. Le curé-fondateur Édouard Lavergne en 1924 (voir photo), s'il voit son église débâtie, va certainement être très triste comme nous, les paroissiens. C'était un immeuble d'une grande qualité acoustique, classé édifice à "valeur patrimoniale élevée" par déclaration gouvernementale. Le glas a sonné mais je sais que toutes les personnes qui ont fréquenté ce temple en garderont de bons souvenirs.

L'église est maintenant démolie et, pour rappeler l'histoire de la paroisse, ce site "NDGquébec" se plaît à évoquer certains événements et certains aspects de la vie à NDG, à l'aide de photos, d'extraits de "La Bonne Nouvelle", le journal de la paroisse à ses débuts, etc. Les curés et vicaires dévoués, les constructeurs, les marguilliers, les bénévoles ne seront pas oubliés.

Simonne Dumont.
(Photo de l'église prise le jour de la fermeture.)

lundi 29 décembre 2014

Souvenir du Jour de l'an au Collège, il y a 60 ans

Le Flambeau de 1954-1955 permet de rappeler un souvenir du Jour de l'an d'il y a 60 ans. Au Collège Notre-Dame-de-Grâce, des centaines d'anciens élèves et d'étudiants actuels défilèrent auprès des frères enseignants pour leur offrir des voeux de bonheur.

Les photos suivantes n'ont peut-être pas été prises ce 1 janvier 1955 précisément, mais elles permettent de deviner l'atmosphère qui régnait à l'école au temps des Fêtes de 1954-1955.


On aperçoit entre autres Bernadette Warren, institutrice de la première année. Le théâtre était à l'honneur en cette période. Le frère Louis, titulaire de la 12e année, était souvent l'auteur des pièces, et le frère Flavien en assurait la mise en scène. 


Le frère Louis écrivait : "Les étoiles ouvrent de grands yeux pour éclairer les petits chemins de la neige qui descend du ciel vers la terre."

Voici les titres de quelques autres pièces jouées cette année scolaire-là :

Une histoire merveilleuse
Le bon pain NDG
Un chef de file
L'heure de la paix
Pour la moisson

NDG Québec souhaite à ses lecteurs une merveilleuse année 2015, espérant continuer de souligner des événements passés et présents survenus dans la paroisse Notre-Dame-de-Grâce !

Michel.

lundi 15 décembre 2014

L'exposition de vitraux sert souvent de magnifique décor.


Une carte de voeux a été envoyée par le Groupe de travail sur la mobilité durable du quartier Saint-Sauveur. Elle est agrémentée par la photo suivante prise lors d'une consultation auprès des citoyens:


On peut consulter le bilan de cette assemblée en suivant le lien suivant :
http://www.cccqss.org/IMG/pdf/2014-11-12_CR_ConsultationWEB.pdf

Les vitraux au Centre communautaire Édouard-V. Lavergne servent souvent de splendide décor pour des photos, comme l'illustre aussi le cliché suivant qui date de l'an passé :


Concernant justement la troupe V'là l'bon vent, le site "Mon Saint-Sauveur" publiait récemment un reportage sur la troupe-école, qui comprend des jeunes de 5 à 17 ans et qui pratique tous les samedis matin au Centre communautaire de la paroisse Notre-Dame-de-Grâce.


Un appel était fait par la directrice Diane Lapierre pour trouver de nouveaux jeunes participants. Plus de détails se trouvent sur le site suivant :
http://blogue.monsaintsauveur.com/2014/vous-chantez-et-bien-dansez-maintenant/

C'est dans un tel contexte festif que nous souhaitons un très joyeux Noël aux résidents et aux amis de NDG. La paroisse est privilégiée d'avoir encore accès à des biens de son patrimoine pour vivre ou revivre le temps des Fêtes. Elles sont plutôt rares les paroisses défuntes qui peuvent en dire autant.

Michel.

lundi 1 décembre 2014

Le "Musée" de Notre-Dame-de-Grâce a 5 ans.

En cette fin d'année, c'est le 5e anniversaire de l'inauguration (photo) de ce que je me plais à nommer le "musée" de la paroisse Notre-Dame-de-Grâce. En effet le 11 novembre 2009, une fête marquait l'ouverture de l'Exposition de vitraux et du local consacré à l'église de NDG et au curé fondateur Édouard-V. Lavergne, sur l'un des étages et dans la cage d'escaliers du Centre communautaire Édouard-Lavergne.



Au cours des récentes années, d'autres objets de choix se sont ajoutées à la collection et ont été installés, comme les vitraux sur le mur opposé à la rosace et des lustres qui ont été exemptés de la destruction lors de la démolition de l'église.



D'autres articles provenant de l'église ont été conservés, comme cette sonnerie :




De menus articles étaient aussi distribués par des organisations ou commerces de NDG (comme Caisse populaire, Centre communautaire Saint-Vallier, Boucherie Dinel et frères) :



Sans oublier d'autres artefacts qui témoignent du passé de la vie paroissiale, comme ce missel en guise de cadeau de confirmation (1959) :



Si vous possédez des souvenirs reliés à la paroisse NDG, vous pouvez en faire don en les remettant au Centre (390 Arago ouest). Vos photos peuvent être numérisées et elles pourront vous être retournées. 

Michel
(merci entre autres à Émilie Lapierre-Pintal, Jean Cazes et Louis Parent pour les photos)


vendredi 14 novembre 2014

Décès d'Émile Côté

Nous avons appris le décès d'Émile Côté, ancien marguillier de Notre-Dame-de-Grâce. Sa défunte épouse, Marie-Paule Cauchon, fut également marguillière dans la paroisse. Les funérailles de Monsieur Côté se tiendront samedi le 15 novembre à 14:00, à l'église de Saint-Malo (275 Marie-de-l'Incarnation). Les condoléances pourront être transmises à la famille pendant l'heure précédant la cérémonie.

Michel.

vendredi 31 octobre 2014

90e anniversaire de la fondation de NDG



Le premier novembre 1924 fut la date officielle de la première cérémonie officielle dans la paroisse Notre-Dame-de-Grâce. Il s'agit donc cette année du 90e anniversaire. Le 100e sera plus important mais je ne pouvais pas éviter de souligner le 90e. Pour cette occasion, j'ai pensé rassembler les messages émis par les curés en fonction lors d'anniversaires importants : 10e, 25e, 50e et 70e anniversaires.






10e anniversaire (1934):

"Le jour de la Toussaint 1924 dans la salle basse, au soubassement de l'École de l'Immaculée-Conception, notre paroisse commençait ses activités surnaturelles. M. l'abbé Guillaume Deschène chantait la première messe. À l'harmonium il y avait Melle B. Lavergne, aujourd'hui Mme Aurélius Blouin. La Chorale S. Louis sous la direction de M. Pierre Robert nous avait prêté son concours. Notre maître-chantre actuel, M. Moïse Fradette, débutait dans le travail de dévouement que le temps et les épreuves n'ont pas abattu. Dix ans ont passé!... Dix ans de bénédictions dont le compte ne se présente pas comme un bilan financier parce qu'il est fait des impondérables de la vie surnaturelle. Cependant, il n'y a qu'à regarder pour constater vers quelle ascension progressive notre population a marché. Un fait: la première année, les communions atteignaient le chiffre de 86,000. L'année dernière il arrivait à 232,000. Nous rendons grâce à Dieu de toute l'ardeur de notre âme de curé. Je prie les paroissiens, dimanche le 4 où nous célèbrerons ce dixième anniversaire, de se joindre à nous dans l'action de grâce. C'est un devoir qu'il importe de ne pas oublier."

Édouard-V. Lavergne, curé, 1934. Photo : tables du banquet dans l'église.



25e anniversaire (1949):

"À l'occasion du Jubilé d'Argent de la fondation de la paroisse N.-D. de Grâce, je suis heureux de rendre un hommage d'admiration aux fondateurs, aux éducateurs et à tous ceux qui ont travaillé à réaliser ce qui fait aujourd'hui la valeur de cette paroisse, au point de vue religieux et paroissial. En ce premier quart de siècle: Louange et reconnaissance à Dieu!"

Joseph Falardeau, curé, 1949. Photo : activité d'anniversaire dans la salle paroissiale.

:

50e anniversaire (1974):

"Une année jubilaire. 1924-1974: 50 ans de vie paroissiale. La paroisse Notre-Dame de Grâce fête cette année ses noces d'or. Nous profiterons de ce cinquantenaire pour valoriser notre paroisse, pour en reconnaître les fruits et les avantages, souligner le travail de nos devanciers qui ont fait d'énormes sacrifices pour élever notre église dans un temps et dans un quartier où les conditions de vie n'étaient pas plus faciles qu'aujourd'hui. Les ouvriers de la première heure ont bâti une église, ils ont mis en marche des mouvements paroissiaux et des organisations qui ont connu leur heure de gloire et qui ont contribué à former deux générations de citoyens chrétiens. L'église, ils nous l'ont laissée comme héritage, comme on lègue un bien de famille précieux, chargé de souvenirs. Les parents et grands-parents de nos fidèles d'aujourd'hui ont été des bâtisseurs; ne soyons pas des démolisseurs. La paroisse et son église auront bientôt 50 ans: que ce soit pour nous tous un motif de fierté, un signe de ralliement..."

Gérard Lefebvre, curé, 1974. Photo : cérémonie d'anniversaire dans l'église.



70e anniversaire (1994):

"La Communauté chrétienne de Notre-Dame-de-Grâce est heureuse, en ce 29 mai 1994, de souhaiter la plus cordiale bienvenue à tous nos invités d'honneur, à vous tous anciens, anciennes, parents et amis venus de près ou de loin. Avec vous, nous voulons rendre grâce au Seigneur Dieu pour tant de bienfaits reçus au cours de ces 70 ans et pour tout l'amour qui nous rassemble aujourd'hui. Merci aux membres du Comité des Fêtes et à toutes les personnes qui ont apporté leur collaboration pour faire de cette rencontre une réussite. Que cette fête des retrouvailles vous comble de joie! 1924-1994."

curé en fonction: André Ferland, 1994. Photo : procession d'ouverture de la messe-anniversaire.


N.B. Le 75e anniversaire n'a pas pu être célébré à cause de la fermeture de la paroisse en 1997.

Michel.

samedi 25 octobre 2014

Photos retrouvées d'autres commerces

D'autres trésors ont été "déterrés", permettant de rappeler des souvenirs visuels d'anciens commerces de Notre-Dame-de-Grâce.

D'abord l'épicerie de Ludger Royer était située sur Victoria, au coin de Châteauguay :

à deux époques différentes :


 à l'intérieur de l'épicerie :



L'épicerie d'Alcide d'Auteuil était sur le Boulevard Langelier, presque au coin de Franklin :



Une troisième épicerie fut celle de Paul Racine, Elle était sur Bayard, au coin de Christophe-Colomb (ici en 1978 le local était devenu vacant) :



En remplacement de l'épicerie de Rosaire Chartré, le restaurant Chez Lynda (1964) était sur Victoria, au coin de Christophe-Colomb :


Enfin succédant à la laverie de Jean-Pierre Lecours, c'est sur Christophe-Colomb, au coin de Durocher, que se trouvait la Buanderie automatique Sylvie enr. :


Un gros merci à Simonne Dumont et à Michel Gallant entre autres.

Michel.

dimanche 12 octobre 2014

La rue Victoria pourrait devenir une rue "partagée" et être dotée d'une remontée mécanique.

Dans le cadre du "Plan de mobilité durable" de la ville de Québec, qui fut déposé à l'automne 2010 dans une version préliminaire, le quartier Saint-Sauveur a décidé d'y participer en formulant des suggestions particulières. Un document de travail du "Plan de mobilité durable du quartier Saint-Sauveur" fut élaboré sous la supervision du Conseil de quartier de Saint-Sauveur et du Comité de citoyen-ne-s du quartier Saint-Sauveur, constituant un comité conjoint de suivi. La population du quartier fut consultée et il en résulta une version préliminaire du Plan de mobibilité durable de quartier.

Le 8 octobre dernier au Centre communautaire Édouard-V. Lavergne, ce plan préliminaire fut présenté aux citoyens lors d'une séance d'information publique. Le 12 novembre au même endroit, il y aura consultation publique pour décider des recommandations à adopter.

Je fais part maintenant des solutions retenues par le comité conjoint pour le territoire de l'ancienne paroisse Notre-Dame-de-Grâce :

1) La suggestion la plus spectaculaire pour NDG est de choisir la rue Victoria comme un lieu d'intervention prioritaire. De plus elle deviendrait une "rue partagée" à dominante piétonne. Les trottoirs seraient supprimés et la vitesse de circulation automobile serait ralentie. Voir l'exemple sur la photo.

À titre d'information, les autres lieux prioritaires pour les piétons seraient sur les rues Saint-Vallier (entre Saint-Luc et Carillon et à l'intersection du Boulevard Charest ouest) et sur Marie-de-l'Incarnation (entre Kirouac et Saint-Vallier).

Pour les grands passages piétonniers, (outre Victoria dans le corridor Carillon - Victoria - Cartier),  les rues choisies seraient De Mazenod (dans le corridor Saint-Ambroise - De Mazenod - Salaberry), Saint-Germain (dans le corridor Bigaouette - Saint-Germain - Des Érables) et Arago.

Pour améliorer le lien avec la Haute-Ville, la demande sera faite pour une remontée mécanique dans le haut de la rue Victoria et pour un nouvel escalier dans le haut de Montmagny.

2) Les interventions pour le réseau de pistes cyclables se feraient sur les rues Arago (vers l'est, dans l'axe avec la Pente douce), Christophe-Colomb (vers l'ouest), De Mazenod (vers le sud), Victoria (vers le nord) et Saint-Germain (dans les deux sens).

3) Pour le transport en commun, les possibilités de tramway ou, à défaut, de service rapide par bus (SRB) seraient hors du territoire de NDG, sur le Boulevard Charest, sur Marie-de-l'Incarnation et sur la Pente douce. Pour les autobus, la fréquence des parcours serait augmentée.

4) Enfin du côté de la circulation automobile, la vitesse seraient limitée à 30 km/h sur tout le territoire du quartier, sauf sur Marie-de-l'Incarnation et sur le boulevard Charest. Les arrêts seraient obligatoires à chaque coin de rue.

Pour vos commentaires et suggestions, les faire parvenir au Conseil de quartier ( conseilquartier.saint-sauveur@ville.quebec.qc.ca ) ou au Comité de citoyen-ne-s.

Pour obtenir des informations plus détaillées que le précédent résumé, vous pouviez consulter sur internet les documents suivants  (qui ne sont plus disponibles.):
Diagnostic citoyen, mars 2014 (http://www.ville.quebec.qc.ca/apropos/vie_democratique/participation_citoyenne/conseils_quartier/saintsauveur/docs/PMDQ_diagnostic.pdf)
et
Compte-rendu des ateliers professionnels et citoyens : des solutions aux problèmes de mobilité dans notre quartier, juin 2014 (http://www.ville.quebec.qc.ca/apropos/vie_democratique/participation_citoyenne/conseils_quartier/saintsauveur/docs/PMDQ_compterendu.pdf)

Rappel : Le 12 novembre 2014, 19 h, au Centre Édouard-V. Lavergne, salle 303, se tiendra la consultation publique décisionnelle pour adopter les recommandations sur le Plan de mobilité durable du quartier.

Mise à jour :
Le document de consultation pour le résumé des recommandations peut être lu à cette adresse :
http://www.cccqss.org/IMG/pdf/2014-10-20_DocumentConsultations-WEB.pdf

Michel.
(merci à Francis Vachon)

dimanche 28 septembre 2014

Un groupe "yéyé" de NDG : les Méloÿds.

En plus du groupe folklorique "Les Goélands", la paroisse Notre-Dame-de-Grâce a connu un autre groupe, yéyé celui-là, qui fut populaire à la fin des années 60 et au début des années 70 : "Les Méloÿds".

J'ai eu l'occasion d'être témoin, en quelque sorte, de la naissance de l'orchestre. Un après-midi de je ne me souviens plus quelle année (peut-être 1964), mes amis et confrères de classe du Collège NDG, Jacques Dussault et André Gobeil, arrivèrent chez moi et nous annoncèrent, à ma mère et à moi : "On va former un orchestre et Michel va jouer de l'accordéon ! " De mon côté, ça ne s'est pas réalisé, mais le projet d'André et Jacques, avec un autre confrère Yves Voyer, était sérieux, sans doute influencé par la popularité des Beatles. Après quelques années, on entendait déjà parler de leur groupe qui avait adopté comme nom définitif : "Les Méloÿds" (en remplacement de celui des "Silver Stones").




Jean Gagné qui allait se joindre à l'ensemble raconte, sur son site "Les groupes de la Vieille Capitale des années 60", l'histoire de cette formation qui fit honneur à NDG. L'adresse du site, qui a été mis à jour pour la dernière fois en 2005, est :

http://membre.oricom.ca/jgagne


Voici des extraits de cet historique (mes remarques sont entre parenthèses) :
Fondés en Janvier 1966 et issus des "Silver Stones", les Méloÿds avaient un répertoire des top 10 américains soit des interprétations des chansons des Bee Gees, des Beatles ("The Ballad Of John And Yoko" fit partie de leur répertoire), des Animals, Stevie Wonder, Chicago et quelques chansons françaises, telles "Avec la tête avec le coeur" de Claude François.  
Les Méloÿds se produisaient principalement dans les salles paroissiales, au Moulin et au Bourgeois où ils fracassèrent les records d'assistance.  
Le groupe originaire du quartier St-Sauveur dans la basse-ville de Québec se composait comme suit:  
vocal: Guy Voyer (frère d'Yves),
guitare: Yves Voyer,
basse: Jacques Dussault,
guitare accompagnement: Philippe Lapointe (peut-être l'un de mes confrères de classe de l'école Cardinal-Roy),
batterie: André Gobeil,
gérant: Jacques Hamel
En cours de route, Philippe Lapointe a été remplacé par Michel Deblois à la guitare et à la gérance. 
En 1968, Guy Voyer quitte le groupe et Michel Deblois le remplace comme chanteur soliste. 
En 1969, Michel Deblois quitte et deux nouveaux musiciens se joignent au groupe: Jean Gagné, chanteur, et Denis Bailey, bassiste. Jacques Dussault passe à l'orgue.  

En 1970, Claude Dubé devient organiste et Jacques Dussault retourne à la basse. Denis Bailey quitte le groupe. Jean Gagné a poursuivi sa carrière musicale sporadiquement avec différents groupes.  
Le gérant des Méloÿds fut pendant de nombreuses années Michel Paquet et Denis Jinchereau agissait comme technicien. Le local des pratiques était situé sur le boulevard Langelier, au deuxième étage du garage Voyer Carburateur. Le groupe a été dissous en 1972.

Ce qu'ils sont devenus ? 
Guy Voyer a repris du service avec ses frères (le groupe Jaguy).
Jean Gagné a joué avec plusieurs autres groupes dans les années 70 et 80 ; il est présentement à son compte en infographie sous le nom de MiG concept.
André Gobeil est décédé dans les années '70.
Jacques Dussault est gérant chez Club Chaussures.
Yves Voyer est CGA ; il a pour principal client la chaîne d'hôtels Jaro.
Denis Bailey a été bassiste accompagnateur, a fait un disque avec Jimmy de Petrillo et est toujours actif dans divers band de jazz dans la région de Sherbrooke.
Les Méloÿds (incluant Serge Voyer à la batterie) se sont réunis en 2002 au Centre Mgr Marcoux lors de l'événement "Retrouvailles 2002" dont le maître de cérémonie fut Louis Lebeau de la station de radio CFOM (décédé récemment). Les Corvet's, Les Memories, Octogone et Patrick Zabé furent également au programme.


Michel.
(Merci à Jean Gagné.)

dimanche 14 septembre 2014

La rue Franklin revient dans l'actualité.

La rue Franklin, qui parcourt les anciennes paroisses Notre-Dame-de-Grâce et Saint-Joseph, a été dans l'actualité récente grâce à la découverte faite concernant le personnage duquel elle tire son nom : John Franklin.

Il y a exactement un an, nous avions traité brièvement de trois rues de NDG faisant référence à des explorateurs : Christophe-Colomb, Louis Jolliet et John Franklin (cliquer ici pour le lire).

L'annonce du mystère résolu le 7 septembre 2014 à l'aide d'un véhicule sous marin autonome donne l'occasion de fournir davantage de détails concernant le découvreur qu'était Franklin et les deux navires qu'il commandait. Je laisse à l'agence de presse belge "Belga News Agency" le soin de décrire son aventure.
"L'un des plus grands mystères de l'histoire de l'exploration de l'Arctique vient d'être levé avec la découverte de l'épave d'un des navires de l'explorateur britannique Sir John Franklin, disparus dans le Grand Nord canadien en 1846. (...) 
Sous le commandement de Sir John Franklin, avec le capitaine Francis Crozier, les deux navires avaient quitté l'Angleterre le 19 mai 1845 avec 134 hommes d'équipage pour découvrir le Passage du Nord-Ouest, qui permet de relier l'Atlantique au Pacifique par l'océan Arctique. (...) L'"Erebus" et le "Terror" étaient les fleurons de la marine britannique de l'époque, équipés d'un moteur à vapeur, d'un dispositif de chauffage et d'une proue renforcée. 
Les derniers Européens à être entrés en contact avec les navires furent des membres d'équipage de deux baleiniers, croisés dans les glaces de la baie de Baffin en août 1845.
Après avoir pénétré dans l'archipel arctique plus tard dans la saison, l'expédition avait rapidement connu des déboires. Personne, à l'exception de quelques rares Inuits, n'a revu l'équipage des deux navires vivant. 
La disparition de l'expédition de Franklin a donné lieu à l'époque à de vastes recherches, mais les circonstances entourant le sort de l'expédition ne furent élucidées qu'en 1859, lorsqu'un navire affrété par Lady Jane Franklin, veuve de l'explorateur, retrouva un sombre message laissé dans un cairn (petit tas de pierres) sur l'île du Roi-Guillaume. 
 Coincés pendant un an et demi dans les glaces, les marins avaient fini par manquer de vivres. John Franklin et 23 autres membres d'équipage étaient morts le 11 juin 1847, dans des circonstances non précisées, selon le message écrit par l'un des groupes de survivants à cette date. Le 22 avril 1848, 105 survivants avaient quitté les navires pour se diriger à pied vers la terre ferme. Aucun d'entre eux n'a survécu. Les deux bateaux ont été engloutis par la glace.
Dans les années 1980, des scientifiques canadiens avaient conclu à partir de restes de membres de l'expédition découverts sur l'île Beechey que ces derniers étaient morts de froid, de faim et empoisonnés par le plomb utilisé pour sceller les conserves. Des os montraient également des signes de cannibalisme. 
Depuis 2008, des équipes d'archéologues de l'organisme national Parcs Canada, assistées par des navires de la Garde côtière canadienne, ont mené six campagnes majeures de recherches pour retrouver les navires disparus de l'expédition Franklin. 
L'épave a été découverte dans le détroit de Victoria au large de l'île du Roi-Guillaume, non loin du village inuit de Cambridge Bay dans le Territoire du Nunavut."
N.B. Il a été confirmé que l'épave trouvée est celle du navire de John Franklin lui-même.

Michel.

lundi 1 septembre 2014

Quelques photos de commerces de NDG

Quelques photos de commerces de la partie Est de la paroisse Notre-Dame-de-Grâce ont refait surface récemment.

La boucherie Josaphat Dinel, au coin d'Arago ouest et boulevard Langelier (merci à Claude Dinel et Simonne Dumont) :

Josaphat Dinel à l'extérieur de son commerce.

L'intérieur de la boucherie, en 1927.

L'intérieur de la boucherie vers la fin de son existence.

Le restaurant Fontaine, Rolland, au 486 Langelier (merci à la page Facebook "Retour vers le passé") :
Incendie le 7 février 1998 de l'édifice où logeait le commerce.

L'épicerie/restaurant d'Emmanuel Gignac, au coin de Franklin et Signaï (merci à Diane Gignac) :

Le restautant/épicerie, avant 1949.

L'épicerie E. Gignac dans le nouvel édifice construit en 1949.

Michel.

vendredi 22 août 2014

Le livre sur NDG en vente au Marché Saint-Sauveur.

Émilie Lapierre Pintal nous informe que Dale Gilbert et elle seront au marché St-Sauveur samedi matin, le 23 août au parc Durocher, pour vendre le livre de Dale : «De cloches et de voix». (Malheureusement, ils ne pourront pas être présents à "Saint-Sauveur en fête" samedi le 30 août.)

Des copies de ce livre sur Notre-Dame-de-Grâce peuvent aussi être commandées chez l'éditrice à :
342 rue Franklin
Québec, Qc G1K 2G3
Tél.: 418 523-0507

ou par courriel :

samedi 16 août 2014

Tableau d'honneur au Collège de NDG en 1941-42

Pour compléter le coup d'oeil que nous avions jeté sur le premier numéro (celui de 1941-42) du Flambeau, journal annuel du Collège de Notre-Dame-de-Grâce, voici le Tableau d'honneur, c'est-à-dire les meilleurs élèves de chacune des classes :

N.B. ce sont les 5 premiers (sauf indication contraire); la plupart du temps, du premier (à gauche) jusqu'au cinquième (à droite). Il peut y avoir des erreurs dans l'identification des élèves.

1e année (du Frère Émile) :

Gaston Côté
Maurice Gariépy
Laurent Dumas
Jean-Guy Côté
Eugène Roussin







2e année A (de Maxime Bergeron) :

Claude Pagé
Gérard Maheux
Raymond Pépin
Gérard Breton
Gérard O'Hearn







2e année B (de Gustave DeBlois) :

Daniel Lessard
Marcel Langevin
Jacques L'Heureux
Jean-Guy Langlois
Lucien Pelletier


N.B. Jean-Paul Poitras (photo à part) était aussi parmi les 5 premiers





3e année A (d'Alfred Bourque) :

Roland Bilodeau
Jean-Claude Verret
Jean-Guy Lower
Bernard Lachance
Gilles Gosselin






3e année B (de Louis-Marie Lavoie) :

Robert Côté
Lucien Robitaille
René Richard
Raymond Morency
Henri Delisle







4e année (d'Arthur Godbout) :

André Lortie
Antonio Martel
Jean-Guy Lessard
Maurice Vigneault
Adrien Guay





5e année (du Frère Constant) :

Roger Vigneault
Roger Morin
Claude Savard
Claude Martin
Maurice Simard






6e année (d'Éloi Tremblay) :

René Côté
Jean-Paul Bussières
Fernand Frigault
Claude Boivin
Louis-Georges Lachance






7e année (de Charles Tousignant) :

Jean-Louis Boudreau
Robert Thibeault
Roger Gingras
Roger Robitaille
Laurent Drolet





8e année (du Frère Théodore), les 7 premiers :

Fernando Gobeil
Maurice Gagné
Adrien Côté
Roger Leclerc
Roland Ferland
Jean-Paul Lafrance
Henri Lorrain




9e année (du Frère Louis) :

Henri Gamache
Marc-Édouard Côté
Berchmans Gagnon
Roger Tanguay
Fernand Boudreau








10e année A (du Frère Anselme), les 7 premiers :

Jean-Guy Pagé
Guy Dionne
André Bédard
Jean-Paul Bélanger
Charles-Auguste Noël
Lucien Morisset
Gaston Plamondon





10e année B (du Frère Marc), les 8 premiers :

Paul-Émile Grenier
Wilfrid Lecours
Maurice Gagnon
Guy Girard
Arthur Frenière
Charles-Édouard Leclerc
Adrien Leclerc
Paul-Eugène Drolet







11e année (du Frère Léon) :




Florentin Turgeon
Roger Émond (photo de la 12e année de 1942-43)
Antonio Audet
Rosaire Pépin
Joseph Villeneuve (ci-contre)









N.B. Il n'y a pas eu de 12e année


Un phénomène particulier consistait pour un étudiant à faire tout son cours primaire et secondaire au Collège NDG. Le premier exemple, basé sur les Flambeaux, fut celui de Gaston Côté, qui commença sa première année en 1941 et termina sa 12e année en 1952 (il "sauta" sa quatrième année).

en 1e année
en 12e année

Jean-Paul Poitras (photo ci-haut en 2e année B) est peut-être un autre exemple. Il a fini sa 12e année également en 1952, mais nous n'avons pas de certitude qu'il a fait sa 1e année à NDG.

Ce n'est pas sûr que je vérifierai tous les cas !

Michel.