Paroisse Notre-Dame-de-Grâce

Ce site est consacré à la paroisse Notre-Dame-de-Grâce,
qui a été créée en 1924 et
réintégrée à la paroisse-mère Saint-Sauveur en 1997,
dans la ville de Québec.




EXPOSITION PERMANENTE





Messages les plus récents

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Table des matières

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Historique de NDG en résumé

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Précisions

Les prêts qui me furent faits de nombreux documents me décidèrent à partager ces souvenirs avec la collectivité. Vos commentaires, souvenirs et suggestions sont les bienvenus, de même que vos corrections des erreurs ou omissions involontaires.

Notes :

Nous respectons le désir des individus de ne pas voir leur nom ou leur photo apparaître.

Pour lire les messages, toujours descendre après le "Hommage à Simonne Tardif (Dumont)".

La présentation est optimale en fonction de Windows XP, avec Firefox (Mozilla) comme navigateur et lorsque les fenêtres sont ouvertes à pleine largeur. À défaut de ces conditions, on risque de rencontrer des irrégularités.

On peut cliquer sur les photos pour les agrandir.

Les messages sont sujets à des mises à jour, sans autre avis.

Michel Gignac

Horaire de l'Exposition

À VISITER au
CENTRE COMMUNAUTAIRE ÉDOUARD-LAVERGNE,
390 Arago Ouest :

EXPOSITION permanente pour rappeler
la paroisse Notre-Dame-de-Grâce,
son curé fondateur et son église.

Elle peut être visitée surtout
le VENDREDI entre 9h et 21h,
le SAMEDI entre 9h et 15h,
(fermée le dimanche)

Pour ces jours et pour les AUTRES JOURS,
prière de s'entendre avec un préposé
(418-691-7190 ou 418-641-6252).

ENTRÉE GRATUITE

N.B. Liens vers les messages concernant l'Exposition :
inauguration
photos
crédits

Simonne Dumont (Tardif) 1920-2018

Simonne Dumont (Tardif) 1920-2018

Hommage à Simonne Tardif (Dumont), co-fondatrice du blogue et qui a écrit ce texte :

ÉLOGE DE L'ÉGLISE

Les cloches ont sonné pour la dernière fois dimanche le 29 juin 1997. Les portes de l'église Notre-Dame de Grâce dans Saint-Sauveur se sont fermées à jamais après une dernière messe solennelle dans l'église que remplissaient des résidents et d'anciens paroissiens heureux d'y revenir mais tristes de la voir fermer. La générosité de ces derniers avait permis de la conserver plusieurs années, permettant à la paroisse de célébrer son 70e anniversaire en 1994. Mais la baisse d'assistance aux offices avait fait diminuer les revenus, causant finalement la fermeture.

Depuis, des organismes ont essayé en vain de faire revivre ce temple merveilleux. Mais pendant ces années, la bâtisse s'est détériorée, ce qui fait que le Journal "Le Soleil" annonçait le 15 octobre 2008 : "L'église sera démolie d'ici Noël" pour faire place à des logements. Que de serrements de coeur pour ceux et celles qui y sont attachés !

Nous perdons donc définitivement notre belle église. Le curé-fondateur Édouard Lavergne en 1924 (voir photo), s'il voit son église débâtie, va certainement être très triste comme nous, les paroissiens. C'était un immeuble d'une grande qualité acoustique, classé édifice à "valeur patrimoniale élevée" par déclaration gouvernementale. Le glas a sonné mais je sais que toutes les personnes qui ont fréquenté ce temple en garderont de bons souvenirs.

L'église est maintenant démolie et, pour rappeler l'histoire de la paroisse, ce site "NDGquébec" se plaît à évoquer certains événements et certains aspects de la vie à NDG, à l'aide de photos, d'extraits de "La Bonne Nouvelle", le journal de la paroisse à ses débuts, etc. Les curés et vicaires dévoués, les constructeurs, les marguilliers, les bénévoles ne seront pas oubliés.

Simonne Dumont.
(Photo de l'église prise le jour de la fermeture.)

mercredi 26 mars 2025

Les deux escaliers (et côtes) de Notre-Dame-de-Grâce rendus impraticables par la glace pendant plusieurs jours

À la fin de notre hiver 2024-2025, qui fut assez clément et l'entretien par la Ville bien effectué, la température des récentes semaines a dangereusement affecté le passage par les deux escaliers (et côtes) de NDG, qui sont des corridors scolaires. Mettons-nous dans la situation d'un-e résident-e de notre secteur qui veut monter à pied à la Haute-Ville pour se rendre au Centre Lucien-Borne. Les quatre possibilités principales sont les escaliers Colbert et Victoria et les Côtes Salaberry et Aqueduc-Sherbrooke. 


Vers le 5 mars dernier, la température était élevée, causant la fonte de neige et de glace. Deux jours plus tard, le mercure avait beaucoup baissé ce qui causa le gel de l'eau résultant de la fonte. Le 8 mars, comme marche de santé, je montai la Côte Salaberry à partir d'Arago (première photo). Je ne pus atteindre le haut de l'escalier Colbert car une immense plaque de glace occupait le trottoir de la Côte à cet endroit. Dans le tournant j'ai vu un jeune piéton descendre la Côte étroite dans la rue malgré la circulation d'autos dans les deux directions ; il enjamba le muret vis-à-vis de l'escalier, marcha sur la glace à ses risques et atteignit l'escalier qu'il voulait descendre. Il n'était pas question que je l'imite et je me résignai à revenir sur mes pas et descendre la Côte.


Le lendemain je pris mes précautions et j'installai des crampons à mes couvre-chaussures pour monter par l'escalier Colbert au supermarché IGA sur le Chemin Sainte-Foy. Craintif, je réussis à marcher sur la glace. J'enlevai mes crampons au magasin et, pour le retour, je décidai de descendre plutôt par la Côte Sherbrooke et l'escalier Victoria (deuxième photo). Quelle ne fut pas ma désagréable surprise de constater exactement la même situation que pour l'escalier Colbert : dans le tournant, le trottoir en haut de l'escalier était obstrué par une énorme plaque de glace. La solution pour moi fut de risquer de marcher dans la rue de la Côte Aqueduc et de rejoindre le trottoir quand ce fut possible. Je ne manquai par d'envoyer par Internet un message à la Ville de Québec pour l'informer de ces deux localisations dangereuses. Le 11 mars, je constatai qu'elle avait agi et que la glace aux deux endroits avait été hachée ou enlevée. Cette glace casse-cou se trouve souvent aussi en haut de la rue DeMazenod, près de la Grotte, donc en bas de la promenade qui longe la falaise Sainte-Geneviève ; j'y suis déjà tombé.

La semaine suivante, les conditions météorologiques furent une "copie collée" : une température douce suivie d'un important refroidissement. Le matin du dimanche 23 mars dernier, un peu avant 9:00, je me rendais à une réunion par l'escalier Colbert. Ce fut démoralisant de constater qu'une autre immense plaque de glace occupait le trottoir de la Côte Salaberry en haut de l'escalier. Pas d'autre choix ne s'offrait à moi que de redescendre l'escalier. Je décidai de monter la Côte Salaberry et de prendre le risque de contourner la glace et de marcher dans la voie des automobiles qui se faisaient plutôt rares à ce moment où presque tout le monde dort. Au retour, la circulation automobile étant plus dense et supposant que je retrouverais un obstacle analogue en haut de l'escalier Victoria, sur le trottoir de la Côte Sherbrooke, il y avait deux choix possibles : me rendre à l'escalier de la rue Saint-Germain dans l'ouest (dans Saint-Joseph), ou à celui de la rue Nelson (appelé l'escalier Lavigueur) dans l'est (dans Jacques-Cartier). J'optai pour cette dernière possibilité. Ce rallongement s'effectua par cette température glaciale. J'écrivai à nouveau par internet à la Ville pour l'informer, si elle n'était pas déjà au courant. J'ignore pendant combien de jours cet état de choses dura.

Je ne suis pas à plaindre car j'aurais pu prendre des taxis. Mais je me mets dans la peau de piéton-ne-s qui, sans être au courant de ce qui les attend, arrivent face à face avec des plaques de glace d'une telle envergure, devant soit remonter ou redescendre, soit s'aventurer sur ces petites patinoires. Je ne peux imaginer qu'aucun-e n'est tombé-e ni peut-être ne s'est blessé-e. Il me semble que la Ville, constatant des conditions atmosphériques de cette sorte, aurait dû faire preuve de prévoyance et briser les plaques de glace ou, à tout le moins, répandre des abrasifs. Il faudrait y réfléchir car les changements climatiques causeront de plus en plus souvent ce genre de situations périlleuses.

(merci aux personnes qui ont pris les photos en des temps de l'année moins hivernaux)

Michel.

mercredi 26 février 2025

Les coûts estimatifs de restauration de l'ancienne église NDG, selon l'étude de faisabilité

 



Basés sur les plans de la proposition de l'étude de faisabilité de Jacques Plante (voir le plan de proposition du rez-de-chaussée), voici comment étaient estimés les coûts de la restauration de l'église Notre-Dame-de-Grâce :


Extérieur :

Démolition extérieure et échafaudage                                                                                 75,000$

Béton                                                                                                                                  171,100$

Maçonnerie                                                                                                                           70,000$

Métaux                                                                                                                                  85,500$

Bois et plastique                                                                                                                    68,600$

Isolation et étanchéité                                                                                                          320,500$

Ouvertures                                                                                                                            120,800$

Finition                                                                                                                                   20,000$

Contingences de design                                                                                                          51,200$

Contigences de construction                                                                                                   69,900$

Administration et profits de l'entrepreneur                                                                            105,300$

Taxes                                                                                                                                     174,000$


Sous-total (extérieur)                                                                                                          1,331,800$


Intérieur :

Démolition intérieure                                                                                                              25,000$

Béton et génie civil                                                                                                                 55,300$

Métaux                                                                                                                                      6,000$

Bois et plastique                                                                                                                      18,700$

Ouvertures                                                                                                                               45,600$

Finition                                                                                                                                   257,000$

Projets spéciaux                                                                                                                        13,000$

Transporteur                                                                                                                              20,000$

Mécanique / ventilation                                                                                                           177,000$   

Électricité                                                                                                                                   71,000$

Contingences de design                                                                                                              37,900$ 

Contingences de construction                                                                                                     51,600$

Administration et profits de l'entrepeneur                                                                                  77,800$

Taxes                                                                                                                                         129,000$


Sous-total (intérieur)                                                                                                                 984,600$


Honoraires

Architecte                                                                                                                                  169,500$  

Ingénieurs structure                                                                                                                     33,300$

Ingénieurs mécanique                                                                                                                  37,300$


Sous-total (honoraires)                                                                                                            240,100$                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                              

Grand total                                                                        1,331,800 + 984,600 + 240,100 = 2,566,500$


De ce total, les tâches urgentes nécessiteraient :                                                                         692,800$


Jacques Plante concluait ainsi son avis au lecteur :

"Cette estimation est néanmoins indicative et ne peut être considérée comme étant le coût final du projet. Le coût final du projet relève des soumissions."

Michel.

                                                                                                                         


mercredi 29 janvier 2025

L'effondrement du parvis de l'église NDG en 1999 nécessita des mesures dans l'étude de faisabilité du recyclage de l'église..



Pour faire suite au message concernant l'effondrement d'une partie du parvis de l'église NDG, en juin 1999, nous faisions mention de l'étude de faisabilité publiée le mois subséquent, qui suggérait entre autres des correctifs pour régler ce problème urgent. Le document m'a été confié par Simonne Dumont.


Le 12 juillet 1999 était publié un document d'une cinquantaine de pages (excluant les annexes) rédigé par l'architecte Jacques Plante, décédé en 2022 (photo), conjointement avec le Groupe LMG d'experts-conseils. Dans l'introduction, les auteurs décrivaient l'étude comme une démonstration de la faisabilité de restauration et de recyclage de l'église Notre-Dame-de-Grâce en espace polyvalent de création, de formation, de production multidisciplinaire et de diffusion de spectacles. 



Elle tenait compte d'abord des demandes fonctionnelles identifiées par les représentants des quatre organismes (déjà décrits) alors impliqués :

- Les Ateliers Entr'Actes, avec le collaborateur Pierre Dansereau,

- le S.I.T.E., avec le collaborateur Gilles Dorval,

- le T.C.C., avec la collaboratrice Julie Poulin, et

- Sortie de secours, une troupe de théâtre dirigée par Philippe Soldevilla qui bénéficiait d'une reconnaissance internationale.

Le chargé de projet, Richard Lavoie, collaborait aussi. Les auteurs avaient aussi rencontré Odile Roy, conseillère municipale, et Robert Caron, historien. Ils espéraient que l'étude soit à la satisfaction des objectifs du client, à savoir "Développement De Mazenod Inc." qui chapeautait le recyclage de l'église.

Le Conseil d'administration de "Développement De Mazenod Inc." comportait :

- un représentant de chacun des trois premiers organismes,

- le Président Robert Sabourin, qui agirait comme maître d'oeuvre et porte-parole auprès de la Ville de Québec, de l'Archevêché et du Ministère de la culture et des communications du Québec,

- le Vice-Président Yves Poirier,

- la Secrétaire Marie-Hélène Cauchon,

- le trésorier Pierre Dansereau, et

-les administrateurs Simonne Dumont, Jacques Barbeau et Guy Lafontaine, ce dernier allant démissionner.

Le document constatait que "l'enveloppe et l'intérieur de l'église se dégrade très rapidement, en raison de l'infiltration d'eau par la toiture et les murs de brique, de l'accumulation de neige et de glace sur les toitures des bas côtés de l'église, des ponts thermiques près des ouvertures et du taux élevé d'humidité constaté le long des murs extérieurs. (...) Il serait souhaitable que l'on nomme une personne à titre de concierge responsable de l'entretien et de la gestion physique de l'édifice." Il rappellait que, le 21 juin, une portion importante du parvis de l'église s'était effondré sur la chaufferie au-dessous, causant des dommages appréciables et nécessitant des mesures temporaires de consolidation immédiates dans le but de limiter les dégâts et d'assurer la protection de l'édifice et des usagers.

Dans un prochain message, nous examinerons, sans entrer dans les détails, les propositions et l'évaluation des honoraires concernant la restauration extérieure et l'aménagement intérieur de l'église NDG, effectuées en 1999 dans l'étude de faisabilité.

Michel.

lundi 23 décembre 2024

Les chants traditionnels de Noël en français d'avant 1900.

(note: j'ai publié une partie du texte suivant dans mon site internet parental "Blanche Joachim Gignac":

https://michelgignac.blogspot.com )

Quand j'étais petit, mon père m'amenait à la messe de 6 h 45 le dimanche matin, surtout dans le temps des Fêtes. Nous montions au jubé de l'église Notre-Dame-de-Grâce. Je me souviens que la Chorale des hommes chantait des cantiques de Noël, accompagnée par l'orgue. Ce dont je n'avais pas conscience, c'est que c'était mon père, Joachim Gignac, qui dirigeait la Chorale. Certains me l'ont confirmé assez récemment. À la maison, je le voyais parfois dans son fauteuil du salon parcourir le livre "300 cantiques, anciens et nouveaux" (1948), fredonnant les notes des chants qu'il ne connaissait pas, décidant s'ils feraient de bons cantiques à chanter. Je comprends maintenant que c'est lui qui choisissait les pièces que la Chorale interpréterait. J'imagine que tous les membres de la Chorale et l'organiste avaient ce livre à leur disposition. Mon père leur indiquait quels cantiques chanter. Il possédait également un livre de plus petit format, "Recueil de cantiques, anciens et nouveaux" (1922), qui en contenait 254


Le  "300 cantiques" était une réédition d'un recueil d'abord publié en 1907. Les cantiques qui s'y trouvaient avaient donc probablement leur origine avant 1900 et étaient traditionnels. Les 30 premiers du "Trois cents cantiques" et les 25 premiers du 254 cantiques portaient sur le thème de la Nativité (l'Avent jusqu'à l'Épiphanie). Le premier comportait entre autres "Mon Dieu bénissez", pour le Jour de l'an, et "Que j'aime ce divin Enfant" que mon père trouvait ennuyant ! Parmi les cantiques du second, on trouvait d'autres raretés comme "Ô divine enfance" et "Suspendant leur douce harmonie". 

Ma mère Blanche Bédard connaissait ces cantiques elle aussi. Voici des extraits que j'avais partagés des enregistrements que j'avais faits quand elle avait chanté quelques-uns de ces chants, comme "Ô divine enfance", "Suspendant leur douce harmonie" et "Que j'aime ce divin enfant" :

https://www.4shared.com/account/home.jsp#dir=3jnmcAwG 

On peut consulter ou obtenir le volume des 300 cantiques sur le site de BANQ numérique :
en cliquant sur le chiffre 1 rouge à droite et en donnant le temps de charger ; N.B. les premières pages sont vides.

J'ai fait une recherche personnelle concernant les chants traditionnels ou de forme traditionnelle, en français d'avant 1900, en me concentrant sur le temps des Fêtes. Ces pièces sont susceptibles d'être reprises au Québec dans notre folklore. Cela exclut donc les compositeurs connus comme Bach, Gounod, etc. J'ai consulté différentes autres sources. J'ai une l'immense surprise d'obtenir au moins 350 titres, et ceci n'est sans que la pointe de l'iceberg puisqu'il y en a probablement quelques milliers. Plusieurs sont évidemment en vieux français ou dans des dialectes dérivés du français. À lui seul le compositeur Nicolas Saboly en aurait composé 67, dans la langue occitane provençale. Cela inclut les versions originales de cantiques comme "Bel astre que j'adore" ou "Un flambeau Jeannette Isabelle". 


J'espère que ces souvenirs vous mettent dans l'esprit du temps des Fêtes et d'une nouvelle année, que je vous souhaite des plus agréables

Michel.

lundi 9 décembre 2024

Des projets pour le Centre communautaire ont été retenus par les participants à la rencontre concernant NDG

Quelques mots pour rapporter le déroulement de la réunion du 30 novembre au Centre communautaire Édouard-Lavergne concernant le Bas-Bijou (en gros, l'ancien territoire de la paroisse Notre-Dame-de-Grâce). Elle était organisée et animée conjointement par Concertation Saint-Sauveur et Céline Henrioux d'une part, et par le Comité Citoyen-nes du Quartier Saint-Sauveur et Guillaume Béliveau-Côté d'autre part.

Une tour de table fut exécuté où chacun-e participant-e révélait son identité et la raison de sa participation. Pour ma part, sur la table d'inscription à l'entrée, j'avais recueilli un dépliant comportant une carte communautaire identifiant les services communautaires disponibles dans le Quartier Saint-Sauveur (voir la figure). J'ai remarqué dès le premier coup d'oeil qu'aucun de ces services ne se situe dans Bas-Bijou (sauf la Joujouthèque à l'extrémité nord-est). L'ancien territoire de la paroisse Saint-Joseph souffre d'ailleurs aussi d'une absence de services ; en somme c'est toute la partie sud de Saint-Sauveur qui est défavorisée. J'ai donc trouvé très justifié d'être présent pour essayer de combler cette grosse lacune dans Bas-Bijou.



Les participant-e-s furent divisé-e-s en deux ateliers afin de proposer des projets à ramener en plénière. Chaque atelier devait traiter de projets pour l'intérieur et pour l'extérieur du Centre. Pour ces deux situations physiques, en trois étapes, chaque participant-e proposait d'abord idéalement trois idées. Puis, de façon plus restrictive, il conservait une idée réaliste parmi l'ensemble des suggestions émises. Ces idées conservées étaient enfin discutées par l'atelier qui devait en ramener une ou deux en plénière. 

Lors de cette plénière, les secrétaires des deux ateliers ont présenté les idées qui avaient été retenues pour l'extérieur du Centre d'une part (ex. : verdissement, activités de sports ou de loisirs), et pour l'intérieur du Centre d'autre part (ex. : activités intellectuelles, alimentaires, etc.). 

À leur sortie, les participant-e-s indiquaient sur un tableau au mur quel projet il ou elle préférait, pour l'extérieur et pour l'intérieur. L'analyse de ces choix sera faite par les organisateurs en vue d'une consultation subséquente probable. 

Michel.

jeudi 21 novembre 2024

Un projet pour le Centre Édouard-Lavergne : nouvelle date de réunion



Un projet par et pour la communauté au Centre Édouard-Lavergne sera discuté lors d'une réunion qui se tiendra à cette nouvelle date, étant donné le report de l'assemblée originale :

Le 30 novembre 

au Centre communautaire Édouard-Lavergne

390, rue Arago Ouest

14h à 16h

Durée : 2 h

Public : tout le monde 

organisateurs :

Concertation Saint-Sauveur et Comité Citoyen-nes du Quartier Saint-Sauveur

Ces derniers décrivent ainsi l'activité :

"Une consultation pour mieux connaître les besoins des résident-es du secteur du Bas-Bijou a été réalisée il y a quelque temps. Ce secteur du quartier Saint-Sauveur est délimité entre la falaise et le boulevard Charest Ouest ainsi que par la rue de l'Aqueduc et le boulevard Langelier.

Un des enjeux prioritaires issus de la consultation était l’accès à un local intérieur ou bien à un espace vert extérieur pour créer du lien avec ses voisin-es et pour avoir accès à diverses activités (sociales, culturelles, de loisir, etc.). Nous souhaitons alors co-créer un projet concret et concerté répondant aux besoins : ainsi, vous êtes invité-es à participer à une rencontre citoyenne, samedi 30 novembre de 14h à 16h au Centre Édouard Lavergne (centre communautaire situé dans le Bas-Bijou) !

Inscription obligatoire en remplissant ce formulaire : 

https://urls.fr/3Z-O_P

Sur place : Zone famille 0-5 ans, collations et breuvages gratuits et du plaisir pour cette création collective!

Bien hâte d’échanger avec vous!

Pour plus d’informations, écrivez à :

-Guillaume : guillaume.bc@cccqss.org

-Céline : liaisonstsauveur@gmail.com "

(merci à Facebook)

Michel.

samedi 26 octobre 2024

Joyeux centenaire à la paroisse Notre-Dame-de-Grâce !!! 100 photos pour 100 ans

 La paroisse Notre-Dame-de-Grâce de Québec fête son centenaire en ce mois d'octobre 2024. Le 9 octobre 1924, le Décret d’érection de la paroisse Notre-Dame-de-Grâce était prononcé par le Cardinal Louis-Nazaire Bégin. Le lendemain, l'abbé Édouard-Valmore Lavergne, de l'Action Catholique, était nommé curé. L'abbé Jules Lockwell, vicaire à Sacré-Coeur, devient son vicaire. Le premier numéro du journal paroissial "La Bonne nouvelle" fut daté du dimanche 26 octobre, où le résident-e-s furent informé-e-s concernant la nouvelle paroisse, dont les premières messes allaient être célébrées samedi le 1 novembre à la Toussaint.

Pour souligner cet anniversaire et pour marquer le passage des années, j'ai pensé publier un message comportant 100 photos pour 100 années, une photo par année !!!

Merci à ceux et celles qui ont pris ou partagé ces photos.

On commence.

1924 La brasserie Fox Head, qui occupait le terrain de la future église NDG :

1925 À côté de la rue et de la côte Sauvageau, rassemblement sur le terrain de la future église NDG, la brasserie étant démolie :

1926 L'église NDG nouvellement construite :

1927 Les cloches de l'église NDG arrivent :

1928 La première Messe des malades :

1929 Concert de la Maîtrise et de la Chorale NDG :

1930 La Fête des malades dans l'Archiconfrérie des malades :

1931 La bénédiction du nouveau Collège NDG :

1932 La bénédiction de l'autel de l'Ange ou monument de l'Agonie :

1933 NDG accueille la messe de la Saint-Jean-Baptiste de la région de Québec :

1934 Le défilé de la Fête du travail sur la rue Bayard :

1935 Éloge funèbre pour Armand Lavergne, cousin du Curé :

1936 La Fête des malades du curé Lavergne :

1937 Char du défilé de la Saint-Jean-Baptiste des élèves du Couvent :

1938 Le Congrès eucharistique à Québec :

1939 Le curé Lavergne au Jour de l'An :

1940 Photo panoramique de NDG :

1941 Le Boulevard Langelier, coin Franklin

1942 Remise de décorations pour la Garde NDG à la Grotte : 

1943 La rue Hermine et le tramway vers NDG :

1944 Le 25e anniversaire du Couvent NDG :

1945 Bingo à la Salle paroissiale NDG :

1946 Première élection à l'Amicale du Collège NDG :

1947 Le Grand mystère, pièce de théâtre au Collège NDG :

1948 Soirée du Comité d'Action catholique de NDG :

1949 Épicerie G. Croteau au coin Hermine-Signaï :

1950 Salon de Barbier Edmond Castonguay, rue Arago :

1951 L'autel de l'église NDg décoré pour le mois de Marie (mai) :

1952 La Fête-Dieu à la grotte NDG :

1953 Intersection des rues Hermine-Demers et Saint-Félix :

1954 Exposition de travaux d'élèves du Couvent et du Collège :

1955 Visite de Maurice Richard et Jean Béliveau au Collège NDG :

1956 Anniversaire de la Congrégation des hommes :

1957 Monument de glace sur le Boulevard Langelier au coin d'Arago :

1958 Fred Ratté (au milieu) lors d'une finale de concours d'amateurs :

1959 Les Cadets du Collège NDG en démonstration :

1960 La Quincaillerie de Sylvio Proulx, coin DeMazenod-Christophe-Colomb :

1961 L'épicerie de Roger Giroux, sur le Boulevard Langelier au coin de Châteauguay :

1962 Le nouveau curé Aurèle Ouellet, chanoire, est fêté au Collège :

1963 L'épicerie Canuel et la boucherie Beaulieu & Frères, rue Bayard :

1964 Le restaurant Chez Lynda, sur Victoria au coin de Christophe-Colomb :

1965 La Côte Salaberry et le Boulevard Langelier :

1966 Un vol à la Caisse populaire NDG, coin DeMazenod-Franklin :

1967 La grotte Notre-Dame-de-Lourdes, lors de la supposée apparition de la Vierge :

1968 L'épicerie de Gaston Angers, sur Christophe-Colomb :

1969 L'Orphelinat Saint-Sauveur, sur la rue DeMazenod :

1970 Vue de NDG et Jacques-Cartier à partir de la Côte Salaberry :

1971 Dégâts sur DeMazenod près du Couvent par la "tempête du siècle" :

1972 Le groupe Les Goélands participe à un album de Bobino & Bobinette :


1973 La fermeture du Couvent NDG (journal À propos) :

1974 La messe du 50e anniversaire de NDG :

1975 L'abattoir de Sylvain & Frères, sur Durocher coin Kirouac :

1976 La rue Durocher, coin Franklin :


1977 La Buanderette Josée sur Langelier près d'Arago :

1978 La paroisse NDG vue de l'escalier Victoria :

1979 Maison incendiée coin Bayard-Christophe-Colomb :


1980 Le décès du Frère Wilfrid Sauvageau que les enfants de NDG ont bien connu :

1981 Mario Sylvain, lanceur-étoile dans le baseball mineur :

1982 Marie-Paule Côté est élue marguillière pour un second mandat :


1983 NDG entre les deux côtes (Salaberry et Sherbrooke) qui conduisent à la Haute-Ville :

1984 NDG et Saint-Sauveur vues de la Haute-Ville :

1985 L'escalier de la rue Victoria :

1986 Décès d'Annoncio Gingras, ancien horloger et marguillier :

1987 Plan du projet de transformer la rue Arago en une autoroute de la Falaise :

1988 Le sacristain Gilbert Savard installe la crèche de Noël extérieure :

1989 Le nouveau curé André Ferland est intronisé :

1990 L'arrivée de Soeur Ghislaine Côté comme bénévole :

1991 Jeanne Lévesque connaît sa dernière journée au presbytère de NDG :

1992 Soeur Berthe Gagnon célèbre son 50e anniversaire de vie religieuse :

1993 Le curé André Ferland célèbre son 25e anniversaire de sacerdoce :

1994 Le gâteau du 70e anniversaire de la paroisse NDG :

1995 Le curé André Ferland est honoré à son départ :

1996 Une fête des bénévoles de NDG :

1997 Messe de fermeture de la paroisse NDG :

1998 Départ des cloches de l'église NDG pour une autre destination :

1999 Fermeture de la Caisse Populaire NDG :

2000 "Une paroisse mise en scène" jouée dans l'église dépouillée :

2001 L'exposition sur NDG au Centre communautaire Édouard-V.-Lavergne :

2002 Le décès de Soeur Annette Desbiens :

2003 Le projet de recyclage de l'église NDG par Olivier Dufour :

2004 Le Centenaire des Soeurs de Saint-François-d'Assises :

2005 Les Biscuits Leclerc fêtent leur centenaire (François avait été contremaître pour Biscuits Charest de NDG) :

2006 Réjean Gignac, ex-marguillier et ex-conseiller municipal, se noie en compagnie de sa fille :

2007 L'ex-marguillière Simonne Dumont accepte de co-fonder le blogue NDGquébec :

2008 Le Parc Édouard-Lavergne entre en fonction pour les tout-petits :

2009 L'église NDG est démolie mais est gardée vivante par le musée permanent :

2010 Jean Anderson de NDG gagne sa 20e course en canot du Carnaval :

2011 Le Défi des escaliers passe par les escaliers et côtes de NDG :

2012 Le 50e anniversaire de la Corporation des Loisirs présidé par Yvan Gignac : 

2013 La fête de Noël pour les bénévoles avec la Troupe V'là l'Bon Vent :

2014 Le décès d'Émile Côté, ancien marguillier :

2015 Dale Gilbert publie un 2e livre sur NDG et le quartier :

2016 L'nstallation du monument et des stèles des pompiers sur le Boulevard Langelier :

2017 Décès de Soeur Martha Gagnon :

2018 L'inauguration de l'Oasis Sauvageau (Parc de la Grotte) en collaboration avec "Verdir et divertir":

2019 Le premier Festitook au Racoin (sur Bayard près de la falaise) :


2020 L'inauguration du monument d'Étienne-Paschal Taché sur le Boulevard Langelier :

2021 La rue Victoria devient une rue partagée :

2022 Le décès de l'ancien sacristain Gilbert Savard :

2023 L'ouverture de la friperie Support Durocher au Centre communautaire Édouard-Lavergne :

2024 100e anniversaire de la paroisse Notre-Dame-de-Grâce :

Michel.