qui a été créée en 1924 et
réintégrée à la paroisse-mère Saint-Sauveur en 1997,
dans la ville de Québec.
EXPOSITION PERMANENTE
Simonne Dumont (Tardif) 1920-2018
Hommage à Simonne Tardif (Dumont), co-fondatrice du blogue et qui a écrit ce texte :
Depuis, des organismes ont essayé en vain de faire revivre ce temple merveilleux. Mais pendant ces années, la bâtisse s'est détériorée, ce qui fait que le Journal "Le Soleil" annonçait le 15 octobre 2008 : "L'église sera démolie d'ici Noël" pour faire place à des logements. Que de serrements de coeur pour ceux et celles qui y sont attachés !
Nous perdons donc définitivement notre belle église. Le curé-fondateur Édouard Lavergne en 1924 (voir photo), s'il voit son église débâtie, va certainement être très triste comme nous, les paroissiens. C'était un immeuble d'une grande qualité acoustique, classé édifice à "valeur patrimoniale élevée" par déclaration gouvernementale. Le glas a sonné mais je sais que toutes les personnes qui ont fréquenté ce temple en garderont de bons souvenirs.L'église est maintenant démolie et, pour rappeler l'histoire de la paroisse, ce site "NDGquébec" se plaît à évoquer certains événements et certains aspects de la vie à NDG, à l'aide de photos, d'extraits de "La Bonne Nouvelle", le journal de la paroisse à ses débuts, etc. Les curés et vicaires dévoués, les constructeurs, les marguilliers, les bénévoles ne seront pas oubliés.
Simonne Dumont.
(Photo de l'église prise le jour de la fermeture.)
mercredi 25 septembre 2024
Le Festitook est devenu l'activité la plus populaire de Notre-Dame-de-Grâce
Je n'ai pas rapporté à chacune des 5 années les détails sur l'événement annuel "Le Festitook" qui a lieu au "Racoin" (la ruelle qui longe le pied la falaise Sainte-Geneviève, entre Bayard et Durocher. Mais cette année, du 20 au 22 septembre, ce festival a atteint un niveau de reconnaissance jamais encore égalé.
Quand je suis passé, il y avait 3 scènes, donc trois formations qui performaient en même temps ! La liste des participant-e-s était impressionnante :
On remarque la participation de grands noms musicaux, comme Mononc' Serge, Keith Kouna ou Vander. Thomas Verret, du site Monsaintsauveur, a très bien bien décrit l'esprit de cette manifestation :
"Événement à contribution volontaire, « c’est une bonne réappropriation des territoires, des lieux qu’on habite, pour en faire quelque chose contre la dystopie qui propose plutôt des utopies dans ce qu’il peut se passer dans les quartiers en ce moment", estime une organisatrice et poète, Mona.
Outre les concerts « non-stop » pendant trois jours, la programmation comprend des activités pour la famille, les enfants, les personnes âgées et celles qui ont envie de socialiser. Yoga, poésie, drag queen, cirque, danse swing : il y en a vraiment pour tous les goûts et tous les âges. C’est une grande fête de la culture, de toutes les formes d’art qui plaisent aux gens (comme l'artisanat). Le Festitook vend maintenant sa propre « merch » [items promotionnels], des vêtements signés par l’artiste Dominic Lessard. Qui plus est, il y avait sur place une cantine soutenue par les restos Pirate. Quelques contributions soutiennent par ailleurs le festival, notamment deux coups de pouces financiers de 1 000$ octroyés respectivement par le député de Taschereau, Étienne Grandmont et la Concertation Saint-Sauveur."
Le Festitook est maintenant l'événement qui fait le plus parler de lui dans NDG. Félicitations aux membres de l'organisation, dont Maude Deblois-Mawn, la responsable de l’espace collectif Le Racoin !
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