qui a été créée en 1924 et
réintégrée à la paroisse-mère Saint-Sauveur en 1997,
dans la ville de Québec.
EXPOSITION PERMANENTE
Simonne Dumont (Tardif) 1920-2018
Hommage à Simonne Tardif (Dumont), co-fondatrice du blogue et qui a écrit ce texte :
Depuis, des organismes ont essayé en vain de faire revivre ce temple merveilleux. Mais pendant ces années, la bâtisse s'est détériorée, ce qui fait que le Journal "Le Soleil" annonçait le 15 octobre 2008 : "L'église sera démolie d'ici Noël" pour faire place à des logements. Que de serrements de coeur pour ceux et celles qui y sont attachés !
Nous perdons donc définitivement notre belle église. Le curé-fondateur Édouard Lavergne en 1924 (voir photo), s'il voit son église débâtie, va certainement être très triste comme nous, les paroissiens. C'était un immeuble d'une grande qualité acoustique, classé édifice à "valeur patrimoniale élevée" par déclaration gouvernementale. Le glas a sonné mais je sais que toutes les personnes qui ont fréquenté ce temple en garderont de bons souvenirs.L'église est maintenant démolie et, pour rappeler l'histoire de la paroisse, ce site "NDGquébec" se plaît à évoquer certains événements et certains aspects de la vie à NDG, à l'aide de photos, d'extraits de "La Bonne Nouvelle", le journal de la paroisse à ses débuts, etc. Les curés et vicaires dévoués, les constructeurs, les marguilliers, les bénévoles ne seront pas oubliés.
Simonne Dumont.
(Photo de l'église prise le jour de la fermeture.)
jeudi 28 septembre 2023
Résultats du sondage dans Notre-Dame-de-Grâce effectué par "Consultation Saint-Sauveur"
Les réponses au sondage dans le Bas-Bijou (en gros le territoire de NDG étendu jusqu'à la rue de l'Aqueduc) compilées par "Consultation Saint-Sauveur" ont été rendus publics. Il y a eu environ 175 répondants dont 120 résidant dans ce secteur.
45% des répondant-e-s étaient âgé-e-s entre 35 et 44 ans.
60% d'entre eux vivaient sans enfants.
76% étaient locataires, pour un loyer moyen d'environ 750$ par mois.
73% possédaient un diplôme post-secondaire.
57% trouvaient que le secteur manque d'activités, 61% trouvaient une pénurie d'épiceries.
Pour aller travailler, 52% se déplaçaient en auto, 13% en transport en commun, 6% à vélo et 27% à pied.
100% trouvaient qu'il y manque d'espaces verts et de parcs.
En ce qui concerne la mobilité, les besoins ressentis étaient surtout :
• plus de sécurité pour les déplacements actifs
• moins de circulation routière
• trottoirs en meilleur état et plus accessibles
• meilleure desserte en transport collectif
• plus d’aires de repos
Les priorités pour les répondant-e-s étaient :
• mixité sociale
• liens sociaux
• liens d’entraide
• respect entre voisin-e-s
• accès à un lieu rassembleur ou lieu de rencontre
• créer un sentiment d’appartenance
• accès à des activités sociales, de loisirs, sportives, culturelles
83% répondaient connaître le Centre Édouard-V.-Lavergne, mais environ le même pourcentage le fréquentent peu ou jamais. Plusieurs voudraient y trouver des services alimentaires et des activités culturelles.
Les résultats de cette consultation sont supposés faire l'objet d'une réunion. Le 27 septembre, le conseiller municipal Pierre-Luc Lachance offrait une rencontre avec les citoyens de son district Saint-Roch-Saint-Sauveur. Comme il y a deux ans, il ne fut malheureusement nullement question du secteur de Bas-Bijou ni de l'ancienne paroisse Saint-Joseph (au sud de Charest Ouest), si ce n'est qu'un projet existe encore pour l'implantation de montées mécaniques vers la Haute-Ville. Espérons que le sondage fournira des idées pour davantage de projets dans NDG !
Michel.
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